Quand faut-il remplacer sa chaudière ? Les 3 signes qui ne trompent pas

Signe N°1 : Votre facture d’énergie augmente sans que vos habitudes n’aient changé

Votre facture d’énergie augmente sans raison apparente ? Les causes peuvent être multiples mais à température intérieure et composition du ménage égales, il est fort à parier que votre chaudière en est la cause.

En effet, l’âge de votre installation ou un rendement en déclin peuvent être à l’origine de ces kWh supplémentaires. Si le rendement relevé lors du dernier entretien est inférieur à 90 %, il faut réagir !

Signe N°2 : Votre chaudière a vécu le passage à l’an 2000

Comme toute chose, une chaudière a une durée de vie limitée et le poids des années se fait sentir.

Au menu :

• pannes à répétition ;
• mises en sécurité fréquentes ;
• inconfort thermique (elle ne chauffe plus de manière homogène, votre douche alterne eau chaude et eau froide, par exemple).

Au-delà de 15 ans, il est intéressant de se poser la question suivante : « Remplacer ma chaudière me permet-il d’éviter ces insécurités ? » La réponse est : OUI !

 

Signe N°3 : Vous avez déjà remplacé certaines pièces de votre chaudière et elle devient un gouffre financier

Vous le savez, il est parfois nécessaire de se séparer d'une voiture lorsqu’elle vous revient trop chère. Il en va de même pour votre chaudière. Certaines pièces sont tellement onéreuses que le remplacement de votre installation s’avère un bon investissement tant pour votre portefeuille que pour votre confort de vie.

La solution ? La chaudière à condensation ! Vous en avez entendu parler ? Cela a peut-être piqué votre curiosité…

… à juste titre ! Saviez-vous qu’une nouvelle génération de chaudières peut atteindre les 109% de rendement ?

Cela est dû à sa conception : une partie de l’énergie perdue dans les anciens modèles est aujourd’hui récupérée. Ceci permet un tel rendement.

La chaudière à condensation est aujourd’hui la seule à répondre aux normes énergétiques européennes (EcoDesign) Le but de cette directive est de classer chaque nouvelle installation selon sa performance énergétique tout en imposant un rendement minimum afin de réduire la consommation et les rejets de CO2.